Toute ville qui se respecte possède son lot de colporteurs Ekazrystadt n'échappe evidement pas a cette règle immuable.
Voici ce que l'on peut entendre si on tends l'oreille par-ci par-la.
* Willey, le capitaine de la garde imperiale serait sujet a une phobie. En effet d'apres certains temoignages, des cris provenant de sa demeure a la caserne dechireraient parfois le silence nocturne. Les témoins affirment que le cri etait un cri de terreur. Il n'aura pas fallu attendre longtemps avant que le bas peuple tire la conclusion d'une peur du noir, et que ce dernier serait mort de peur des que le vent soufflerait les chandelles qu'il laisserait allumées expres toutes les nuits.
* Les egouts de la ville polués. C'est pourtant ce que semble affirmer le personnel en charge du maintient des instalation. Témoignage:
-" Il ya quelques jours, apres une rude nuit de travail, avec les amis, on avait pensé casser la croute tranquilement. Le probleme est que Gégé avait oublié d'emmener a boire. Comme nous etions fourbu, on a eut l'idée de boire l'eau des egouts. Vous pouvez me croire, on a eut une diarhée d'enfer quelques minutes plus tard. Si apres ca les eaux ne sont pas poluées..."
* Le retour de la puissance des fleurs? Ancienne coutume qui a fini par disparaitre, il semblerait que des personnes voudraient faire revenir le fameux "flower power". L'idée consistait a ce que chaque adhérent a ce mouvement s'associe a une fleure dont il rependrait les bienfaits. Evidement ces personnes s'engagaient aussi a en cultiver un maximum dans leur royaume. Ca ne se mange pas, ca ne fait pas de bois pour le chauffage, mais c'est joli.
* Rififi chez les paysans. Au cours d'une rencontre d'agriculteurs, un paysans aurait trouvé le moyen d'attirer les foules. En effet, lors de l'apres midi qui se devait d'être festive, toutes les vaches d'un des participant se sont vues avoir un comportement étrange. Toutes les heures environ, ces dernieres se mettaient a chanter simultanement le refrain de la fameuse chanson paysanne "jamais sans ma charette".
La chose a fait sensation, mais depuis les gens refusent d'acheter de la viande de cet agriculteur car ils pensent désormais que ces vaches sont sacrées. Pour combler le déficit de son exploitation, l'agricuteur a entammé la creation d'un centre de pelerinage.