Fraternité naissante...

Post non obligatoire

Pour être plus en relation avec ma vision des choses, j'ai décidé que le plus simple était de poster sur le "flood paradize", dans "tout est en place"
J'espère que vous serez inspiré.
Le plus simple est que vous soyez dans l'action.
Laissez vous guider, je me charge de vous faire avancer.
Soyez sérieux, les personnages peuvent être bléssé.
J'ai essayé de faire un scénario qui pourrait vous plaire.

A vous de l'accepter... Tout seigneur est le bienvenu.
Si vous tardez à répondre, je prendrai les commandes de vos persos.

Si vous ne lisez pas le topic sur le "flood".
Le mieux serait que vous mettiez une musique d'ambiance.
C'est comme ça que j'ai écrit...
Bonne chance...

Le soleil se couche sur les collines de Gally à l’Est de Blodeudd.
Les couleurs orangées et carmins du ciel se fondent parfaitement aux flammes qui embrasent le village du clan Virganis.


Une armée sombre tue sans la moindre compassion tout être à leur portée.
Les hommes et les femmes tentent tant bien que mal à repousser les agresseurs.
Certains, au plus mal, n’usent de leur dernière forces que pour survivre.
Des cavaliers mettent à feu et à sang tous les membres du clan encore debout.
Les soldats mettent à sac toutes les maisons et y délogent tous les habitants qui tente de se cacher.

Les guerriers du village et les plus aptes au combat essaient avec l’énergie du désespoir de gagner du temps pour que le plus grand nombre de villageois s’échappe.
Malheureusement, des chevaliers se démarquant des troupes noires et rendent leurs tentatives désuètes.
L’un deux, maniant deux haches à lames doubles, fauche inlassablement les fortes têtes.
Un autre avance dans le sens inverse de la foule en effroi et gèle tous ceux qui ont le malheur de le bousculer.
Tour à tour une énorme masse sertit de pointes réduits les statuts de glace en pièce scintillantes accompagnant les étoiles qui, une à une, semble se montrer comme pour accueillir les âmes défuntes.
Une silhouette sombre, aussi rapide que le vent du Sud, aux yeux aussi noir qu’un puit sans fond, se mêle aux ombres dansantes dans le tumulte de l’horreur. Ses armes de poings luisent à la lumière de la lune pour chaque mouvement tranchant…

Des femmes et enfants réussissent à ce mettre à l’abri dans la grange aux récoltes…
Plus rien ne semble empêcher le ravage croissant.
Les cris d’impuissances et de douleurs résonnent avec les craquements des charpentes qui s’effondre tel un requiem insoutenable…

Derrière ce spectacle de souffrance, un simulacre, une présence malsaine, comme un chef d’orchestre surplombe cette désolation…

J’ai rêvé de cela la nuit précédente…
Est-ce que cela s’est passé cette nuit ou y a t’il encore une chance d’éradiquer cette menace ?
Comment le saurai-je ?…
Il doit bien y avoir un indice qui me permettra de le savoir…
Je n’ai pas vu aucunes récoltes de saison. Ce qui veut dire que cela n’est pas encore arrivé…
Le ciel et la position des étoiles… La lune !!!
Mais, oui ! C’était une pleine lune argentée !!!
Il me reste, donc, 26jours avant que cela ne survienne… !

Ce village est le miens. C’est, tout du moins, le village m’a accueillit lorsque j’étais aux portes de la mort lorsque j’étais Chevalier de la cour d’Aysle.
Ce village est ma terre d’asile, j’y ai des amis qui ne se soucient pas de la fortune et vis paisiblement dans la douceur des chaumières…

Ils ont besoin de moi, il me faut découvrir ce qu’il en est !
Par là même, il est de force majeur d’éradiquer le mal qui gangrène ces terres.
Il se pourrait qu’ils attaquent par la même notre sol.

Il m’est impossible d’utiliser les forces d’Aëlithius.
Je risquerai de créer une panique et des discussions inutiles qui ne ferait que perdre du temps…
De plus, les menaces extérieures pourraient en profiter.

Il me faut une unité capable de m’accompagner dans ce périple.
Il nous faudra traverser les terres ennemies et trancher net cette ombre qui plane.
Malheureusement, Granouf est en plaine guerre contre le royaume d’Oshin qui lui a déclarer la guerre. Ukyô est à ses côtés pour ne souffrir d’aucune perte.
Lazar sait où se diriger quand il sera rentré.
Quand à Kali, elle est parti en quête de l’objet qui servira à nous délivrer, nous cinq, de cette malédiction qui nous enferme…

Je ne peux plus faire autrement…
Je dois faire appel à mes pairs et aux alliés de la guilde.
Je ne comptais pas les importuner pour ce genre mission.
Je dois, par conséquent, envoyer mes messagers aux quatre coins d’Ekarys, afin que tous soient prévenu…
Je dois me hâter.
Lefir viendra avec moi, ainsi que dix de mes troupes…

A TOUS LES SEIGNEURS LISANT CE MESSAGE

« Noble hobereau,

Moi, Karon Athanase, fils de Karon Tad Spederel, seigneur du royaume d’Aëlithius.
Membre du « pacte de l’Aube et du sceau de l’Equité » et chevaliers Emmeraude.
J’en fais appel à vous tous souverains, membres et alliés de la guilde.
Il me faut agir en silence afin de ne pas provoquer de psychose.
Une armée se dirige vers le royaume de Blodeudd
Un mal est sur le point de naître en empoisonnant ces terres. Et bientôt, gangrènera les Terres alentours…
Je ne vous cache pas que l’un des premiers villages qui sera écrasé m’est cher .
J’ai besoin d’expérience à mes côtés.
De guerriers capables de compter pour plusieurs hommes, ainsi qu’une unité spéciale digne de confiance pour chaque suzerain.
Des troupes seront près à nous soutenir pour le nombre.

J’en serai redevable à chacun…
Vienne qui pourra…

Je vous donne rendez-vous au jour du troisième soleil, aux portes du château de Rémini. »

Après trois jours de Terre franchit, Le guerrier mage se présenta devant les portes du château en compagnie de ses guerriers singuliers.
Enveloppé sous leur cape, ils se présentèrent devant les gardes.
Lefir Aëngius, s’avança et en relevant sa coiffe, il parla à la défense :

« - Faites appeler le maître de la cité !
Annoncez expressément que le porte parole du royaume d’Aëlithius souhaite s’entretenir avec lui… ! »

Un soldat s'occupant de la vigie acquiesça à la demande du seigneur approchant. Prestement, mais point trop n'en faut, il alla dépêcher un valet pour avertir le Maître des lieux qu'un visiteur voulait le voir en personne. D'un grognement sourd, le valet se fit prier de quitter les lieux.
Quelque instant plus tard le seigneur Réré sortit de son bureau pour aller voir quel était le paysan qui osait le déranger.

Il arriva à la porte, regarda le vigil qui lui fit par de l'identité du seigneur le quémandant. Son visage s'éclaira.

D'un mouvement souple il fit signe aux garde d'ouvrir la lourde herse et n'abaisser le haut pont-levis de bois.

Aussitôt il alla accueuillir son visiteur et non moins ami.

"- et bien messire, votre visite est toujours autant accompagné de bonne humeur, venez, venez, laissez donc mes gens s'occuper de vos bêtes.
holà gardes, faites conduire l'escorte de messire Karon aux cuisines.

J'ai vu ton affiche l'autre jour et je dois avouer que je suis assez troubler, voir des armées se masser devant mes portes, celà va me rappeler les longs siège d'hiver...mais je suppose que ça va relancer un peu mon économie. Aller suis moi, tu pourras me raconter plus en détail tes projets et ce que tu attends de moi, tu sais que mes hommes sont prêt à me suivre, et que je suis prêt à t'apporter toute l'aide dont je disposes."

sur ce il monta dans ses appartements en compagnie du seigneur Karon.

Karon donna quelques commandements à ses hommes et enfin se tourna vers Aëngius :

«- Fais en sorte qu’ils soient prêt à partir de demain. Ce ne sera peut-être pas le jour où nous allons prendre le pas, mais ils devront être disposé à monté à cheval quand il sera temps…
Restaurez-vous et qu’ils se remettent du voyage autant que possible…
Rejoins-nous plus tard… »

- Crois-tu que les autres seigneurs viendront ?

- Pour être honnête avec toi, mon ami, je n’en sais rien…
Croyons-le… !
Il en va des royaumes alentours, mais en premier lieu, pour nous, de notre petit village… »

D’un sourire, il affecta une tape appuyé sur l’épaule de son ami.
D’un regard fraternel partagé, mais non moins inquiet, Karon s’en alla accompagner Réré afin de disputer sur la situation…

L’homme dragon finit par s’en aller retrouver son unité…

« Je te remercie de m’accueillir dans la hâte…
Il est vrai que ces derniers nos rencontres sont l’objet d’inquiétudes.
Malheureusement, je n’ai pas le temps nécessaire pour faire des courbettes devant la reine et je ne peux pas non plus rassembler tout le monde sur la place public.
Seule notre salle commune rassemblait les seigneurs qui m’étaient important…

Je te promets que ma prochaine visite sera ponctué de plus d’allégresses ! »

un sourire rassurant nacquis sur les lèvres du jeune Maître de la Rémini.

"Allons, allons mon ami, voyons le bon côté des choses, tu es venu me voir. Il en faut beaucoup pour que tu fasses le déplacement, malgré toutes mes invitations, allez rentrons il ne fait pas chaud ici"

Ils Rentrèrent dans le bureau du jeune seigneur, et montra d'un signe rapide une chaise où le seigneur Karon pouvait s'assoire, il parti et revint aussitôt avec deux coupes de vin.

"Peut-être n'aurais-je point l'occasion d'en regoûter un jour, alors autant en profiter, c'est un grand vin qui à fermenté depuis maintenant 2ans dans ma cave personnel, le raisin à été cueuilli à une période propice au vin et le résultat est, ma foi, plus que satisfaisant. Je me rappelle encore cette année là, il faisait chaud et j'étais allé moi-même aidé les paysans à ramasser les grappes rouges de ce raison qui fait un si bon vin. Ah ces journées au soleil, la sueur dégoulinant du visage..."

il poussa un soupir

"Que de bons souvenir...Mais tu n'es pas là pour parler de ça je présume, malheureusement. Comme je te l'ai déjà dit mes hommes seront prêt, j'ai aussi reçu quelques missives de comte et duc avoisinnant mes terres, ils se tiennent à ma disposition, eux et leurs hommes pour défendre notre cause. Une lointaine mais pourtant très proche amie m'a fait parvenir une douce missive parfummée de son eau de toilette... rien que d'en parler, mes narines frétilles de bonheur et tout mes sens sont en éveil... Bref après une prose merveilleuse sonnant comme l'eau de la rivière à mes oreilles... Un texte merveilleux mon cher ami, qu'on n'en doutrait point de la finesse et de la grandeur d'esprit de cette noble Dame, ah si jamais vous avez le bonheur d'avoir une conversation avec elle vous ne manqueriez point de tomber sous son charme, une Dame d'une grandeur d'âme exceptionnelle, sa beauté est telle que n'importe lesquelles des plus belles dames de mon royaume se trouvent flétri devant tant de grâce, mes seigneurs les plus instruit, ne connaissent même pas la moitié de cette Dame. Elle dit qu'elle pourrait peut-être, si le temps est en notre faveur, nous rejoindre d'ici une semaine. Peut-être vous en a déjà-t'on parlé, une telle femme ne reste jamais méconnu de la gente masculine, Dame Excalydra de Drangor, et à croire sa missive, il se pourrait que notre mariage se fasse d'ici peu.
Enfin je m'emporte quand il s'agit d'elle...tout celà pour dire que nous pouvons surement compter sur une armée en plus à nos côtés.

Allez reposez-vous donc un jour en toute quiétude, rien ne peut vous arrivez entre mes murs à part peut-être de trouvez votre château peu confortable"

et un rire sortit de sa bouche avant d'avaler une gorgé de son vin.

"Enfin, je suppose que vous avez un semblant de plan, ou des projets quand aux mouvement de troupes que nous devont faire ?

- Ganelin, hurla le jeune seigneur !
- Oui Maître ?
- apportez donc du parchemin et une plume pour rendre par écrit ce que Messire Karon pense être le plus raisonnable pour les temps futurs
- tout de suite Maître"

Et le chambellan sortit

"- Quelle crème ce Ganelin, je n'ai jamais connu plus serviable que lui. Allons mon ami je l'entend déjà arriver, commencez donc à me conter vos projets"


Et il s'installa plus confortablement dans sa chaise en attendant le récit de son hôte

Interrompant la discution de Réré et de Karon, un cor résonna de tout son souffle.

Aux portes du chateau, un homme s'avance, portant fièrement les armoiries d'une ancienne guilde disparue. Il était accompagné de quelques hommes, portant sur eux les emblemes du pacte de l'aube, et plus particulierement les couleurs des Sentinelles d'Onyx.

Une voix s'éleva annoncant cette arrivée aux portes du chateau.

-Sir Kelan Flyter, meneur des Sentinelles d'Onyx et Patriarche des éclaireurs de l'Aube.

En même temps que les paroles furent prononcées, l'homme leva son regard percant en direction des remparts. Il se souvenait encore des années de luttes acharnées ou son armée avait combattu cette de Rémini, autrefois Midgarde. Le regard sombre il réajusta sa cape et attendit la réaction de leurs futurs hotes.

Peu après le retour de Ganelin, un soldat vint frapper à la porte.

" Messires, un certain Kelan Flyter est aux portes, dois-je le renvoyer comme un manant ?

- Sot que tu es, escorte le prestement jusqu'ici, et donne des ordres en mon noms pour que ses hommes soit bien traités ou tu en répondras. Allez va et ne me fait point attendre."

Le garde se mis de toute hâte en chemin, il donna les ordres nécessaires, et escorta le nouvel arrivant au bureau où siroptaient du vin Réré et Karon en attendant le nouveau venu.

Voyant le chef de sa guilde avancer dans la citadelle sous la même vu que le chef de sa légions.
Karon sentit un espoir naître dans son coeur...
Son message a été écouté…
Si ses amis étaient venu à sa demande, d’autres viendrait probablement à leur tour…

« -Je suis heureux d’appartenir à cette guilde… ! Lâcha t’il presque inconsciemment.

Puis d’une voix plus clair, il continua :

-Mon plan est pour le moins simple pour le moment. Mes prédictions sont justes, mais elles ne sont pas précises quand au développement des troupes adverses…
J’attendrais que le soleil ait passé sont zénith avant d’engager notre plan de bataille…
D’ici là, nous nous serons reposé Kelan et moi.
Et peut-être que d’autres seigneurs nous ferons la joie de nous déranger…
Je ne comptais pas élaborer de stratégie trop élaborer avant de vous exposer ma vision des choses…


J’ai entendu dire que vous comptiez fleurette avec la princesse Excalydra…
Je ne savais point que vous en étiez déjà au mariage…
Une raison de plus pour survivre à cette bataille… je compte sur vous ! conclua t’il
d’un sourire en coin accompagné d’un petit rire étouffé. »

Enfin, Kelan entra dans la pièce...
Karon posa son verre et se dirigea lui.
Il l'accueillit tout d'abord d'un sourire de gratitude qui se termina par une poignée de mains appuyée.

« - Merci, mon ami… ! »

Kelan avanca dans la piece, regardant tout autour de lui.
Lui qui avait par le passé tenté maintes fois de percer les murailles de cette forteresses, il lui avait finalement suffit de s'annoncer pour y penetrer.
Quelle ironie du sort finalement. Le voila maintenant en compagnie d'un ancien ennemi et d'un seigneur pour venir un confrère qu'il n'avait finalement jamais connu.
Depuis qu'il était miraculeusement revenu a la vie, Kelan était perdu, il ne savait plus qui il était vraiment, et venir participer a cette expedition était pour lui un moyen de trouver des réponses sur son identité profonde.

Kelan Salua Réré, Karon et d'un signe le reste des hommes presents.

-Je suis venu aussi vite que j'ai pu, emmenant avec moi quelques hommes et femmes de confience. Je vais vous les presenter.

Kelan montra un homme elfe à la barbe longue et grisonante, habillé d'une simple tunique aux couleures naturelles.

-Voici Calenia, un druide de la foret Elianorienne de draenor

Puis Kelan designa une femme a la peau violacée, aux oreilles pointues et d'un aspect plutot robuste malgrès ses charmes.

-Voici Nasadia. Elle est ce que nous nommons chez nous une Egyde. ils sont de lointains cousins de ce que certains peuples appelent des drow, ou des elfes noirs. Vous comprendrez bien vite quel est l'etendue de ses talents.

Kelan designa ensuite un être semblant androgyne. Il était difficile de dire s'il s'agissait d'une homme ou d'une femme. Le visage inexpressif et les yeux blanc percant, son regard inspirait un certain malaise.

-Enfin voici Milia... qui possède un talent totalement hors du commun. Le mieux est de vous faire une demonstration... Milia, montre leur donc tes talents.

Milia s'avance vers Réré et le regarda dans les yeux, semblant percer son esprit. En quelques instant, la peau de Milia commenca a bouger comme un serpent...non comme de la gelée. Les formes de la silhouettes se mouvaient, laissant petit a petit se dessiner une autre silhouette.
En quelques instants Réré fut totalement stupefait de découvrir devant ses yeux la dame Excalydra, celle dont il avait demendé la main.

-J'immagine que vous comprenez mieux... Milia est un doppleganger. Il peux prendre la forme, la voix, l'odeur et même les habitudes de n'importe qui.

consterné par les talents du doppelganger, Réré marqua une courte pose la bouche béante, avant d'esquisser un sourire avec une pointe de mélancolie.

" Sir Kelan, les talents de votre compagnon doppelganger ne son point à mettre en doute, mais aucun être ne pourra remplacer la douce Excalydra de Drangor, personne ne pourra jamais égaler sa grâce, son paraitre, sa finesse d'esprit. Jamais plus belle femme ne pourra être à mes yeux.
Et je compte bien revenir de la bataille pour l'épouser et lui offrir des noces digne d'elle.

Sir Kelan, Sir Karon, nous voici donc présentement tout les trois prêt à agir en conséquence, quand pensez vous qu'il nous faudra agir ? Quand dois-je réunir mes hommes, convoquer les ducs et comtes avoisinnant ? Celà ne me prendra certes que très peu de temps mais il me faudra tout de même un jour pour prévenir les plus éloigné des soldats."


Il s'arrêta là et reposa ses yeux sur la doppelganger ayant toujours l'apparence de sa belle promise. Il poussa un soupir à l'idée de ne point l'avoir en sa compagnie en ces instants troublés

Aëngius entra alors dans la salle par le balcon.
Tous furent sur le qui vive.

- Oh, pardon! Je ne pensais pas qu’il aurait autant de monde !
Il enroula ses ailes autour de lui et se couvrit de sa cape.

-Heureusement que tu as gardé ta taille habituelle… !
Emprunte les voix plus usuelles la prochaine fois, Sire Kelan et ses hommes nous ont rejoint.

Aëngius s’avança et s’inclina devant tout le monde :
- Veuillez m’excuser, je ne comptais pas vous méprendre !
Je me nomme Aëngius Lefir, générale en second du seigneur Karon Athanase!

D'un coups d'oeil, Karon remarqua l'air maussade de son amis, il s’approcha de lui et pendant que les gens d’Elianor regardait Aëngius se présenter, il posa un mains sur l’épaule du sieur Réré et lui dit subtilement :

"Ne vous en faites pas.
Elle doit aussi soupirer de vous. Vous êtes tout deux mélancoliques de ne point être côte à côte.
Partager cette souffrance et vous n'en ne serez que plus proche.
Si cela vous est trop lourd, envoyez lui une missive avant notre départ.
Elle s'aura où nous rejoindre..."

Puis, il s’approcha du sire Kelan. Contempla ses hommes et les salua bien bas.

« Merci de vous être déplacé.
Il en va des Terres d’Ekarys…

Il se redressa majestueusement et l’air pensif, il ajouta…

Cependant, ma hâte est motivé par un but plus spécifique.

J’ai erré sur les terres comme un mort vivant, sans savoir où j’allais, à la recherche de mes compagnons d’armes. J’ai subit un tel choc en retour que je pouvais à peine ouvrir les yeux…
Puis je me suis retrouvé dans ce village, traîné par des loups.
Ils me soignèrent sans rien savoir de moi.
Je les ai aidé et appris à se défendre jusqu’à ce que je me souvienne pourquoi j’ai échoué ici…
C’est Aëngius qui m’a retrouvé…

- C’est plus facile quand tu fais du bruit.
Cela ne faisait que peu de temps que tu marchais que tu te battais déjà …

- Tout cela s’est passé il y a très longtemps…
Je ne m’attendais pas à ce que vos esprit me soit si ouvert. Je ne m’attendais pas à ce que toutes mes images vous soit offertes ! J’ai été un peu bavard…
Je vous prie de m’excuser…!

Bref, je pensais avoir tué mon adversaire.
Mais, je sais maintenant qu’il n’en est rien. Où alors, quelqu’un a pris sa relève.
Mais je n’y crois pas une seconde…
Vous savez ce dont il est capable…
Karon projeta le rêve qu’il avait fait il y a trois nuits.
Et maintenant, vous avez aussi ce que savent faire quelques uns de ses généraux…

Je pense qu’il compte s’étendre sur les Terres de Blodeudd comme un arbre croissant.
Il faut que nous coupions la base avant qu’il ne se serve du royaume comme d’une souche pour s’étendre sur les royaumes alentours et déployer ses branches.
Ma métaphore est peut-être difficile a saisir…
En clair, Nous devons faire rempart pour que les généraux s’écrasent sur nous.
Une fois fait, nous attaquerons à la base. C’est à dire l’armée personnel de Nightmare.
Vous me laisserez l’attaquer en premier, j’ai l’avantage de l’avoir déjà combattu.
Si j’échoue, c’est à vous de prendre la relève.
J’espère que je l’aurai assez fatigué pour vous faciliter la tâche…

quelque nuit passèrent depuis le jour de la réunion des trois seigneurs et déjà bon nombre de soldats étaient prêt à partir au combat sur les terres de Rémini.

Le troisième jours, Réré convoqua ses invités et ses seigneurs pour une grande nouvelle.

"Messires, voilà une grande nouvelle que j'ai à vous apporter. Ce parchemin que je tiens dans mes mains est le décompte du nombre de troupes qui sont sous ma banière grâce aux duchés et comtés avoisinnant s'étant mobilisés pour une noble cause que la notre. Sous mon blason pourront se battre prêt de 200 000 hommes, cavaliers et archers, celà n'est peut-être pas autant que vous l'espérer, mais tous sont des vétérans et des hommes d'armes qualifier dont le courage n'est plus à mettre en cause. J'ai aussi appris qu'une troupe de 100 000 mercenaires avaient rejoint nos rangs car un baron sans troupes voulaient nous aider malgrés sa maladie.

La Rémini engagera donc prêt de 300 000 soldats!"

quelques murmures parcoura la salle...

"J'annonce aussi avoir eu des nouvelles de nos avant-postes, l'ennemi est proche très proche, je crains que d'autre aide soit difficilement trouvable avant l'assaut, aussi je voudrais votre avis quand à la tactique à adopter. Une défense à l'intérieur de nos terres en laissant nos champs et nos campagnes brûler et piller, nos paysans massacrés ? Ou une attaque de nuit sur le campement ? J'opterais pour l'attaque éclair de nuit avec des archés sur leur flancs pour mettre en feu leur tentes, et une attaque massif de cavalerie pour surprendre les hommes ennemis encore sous la surprise, ensuite les fantassins qui mèneront le combat final, ce sera dur mais je pense que nous avont plus de chance que si l'on défendait nos terres car les trébuchet ennemis mettraient à mal nos remparts. Bien sur ils sont encore à quelque distance, peut-être pourriont-nous préparer quelque surprise avec un comité réduit, je pensais à des actions plus "nocturnes" ?

Je prévois la bataille d'ici deux jours maximum, j'attend vos conseils !"

Sur ce il s'assit, prit une coupe de vin et regarda l'assemblée.