petite histoire (j'ai pas encore de titre)

Dans mon pays, en Brocéliande, coule une rivière d'une eau pure et cristalline, le bruit de son écoulement et le léger son des petits cailloux de son lit font penser à des murmures d'enfants. Cette rivière connu dans la contrée prend sa source dans un endroit aujourd'hui perdu. Perdu ? Non, plutôt oublié, interdit...Des légendes circulent sur cette source disant qu'elle serait maudite.

Cela remonte déjà à bien des âges que de cette source coule cette eau si pure. De ce temps là, la source était un endroit où pélerins, voyageurs et même les habitants locaux venaient se reposer, boire et remplir leur gourdes, l'endroit était ombragé et d'abondantes touffes d'herbe verdoyantes permettaient aux montures de se repaître.

Cette source se situait sur les terres d'un comte d'une grande noblesse d'âme, sa dame était une personne joyeuse et leur gens se ventaient allégrement de servir ces personnes. Durant de nombreuses années l'eau s'écoula et la joie succédait au bonheur en ces terres. Un jour funeste, le roi décida de partir en guerre et le comte fut mobilisé, lui et ses hommes. Les adieux furent déchirant, les soldats, tous trop jeune pour aller mourir quittaient pour beaucoup la première fois leur famille. Ils étaient brave, mais peinés car ils le savaient, les chances de revenir étaient faibles voir nulles.

----------------

Ainsi dans le comté seul restait les femmes, les enfants et les vieillards. Cependant, perdu dans la forêt, une vieille femme qui semblait avoir traversé tout les âges, vu toute les catastrophes ainsi que les plus belles chose, s'evertuait à continuer sa paisible vie en retrait de celle des autres. La vie en communauté ne l'interessait guère, elle n'était pourtant pas sauvage ni hostile, au contraire, elle se plaisit en la compagnie d'un jeune homme. Lors de leur rencontre il n'avait guère plus d'une quinzaine d'année, et aujourd'hui il en avait plus que 17 et aspirait à un belle avenir. Les gens du village voyait dans cette amitié, une sorte de bizarrerie, mais rien de plus. Seulement c'était « avant », « avant » ce jour funeste. En effet le jeune homme était parti en guerre avec les autres...

Avant de partir, après avoir fait ses adieux à sa famille, il alla voir cette vieille dame. Il ne la trouva pas chez elle, puis l'ayant cherché des heures durant, il la trouva assise prêt de la source. Il lui fit ses adieux, ne pensant jamais la revoir et courant à une mort certaine, sans pleurs, juste de la mélancolie. Elle non plus ne pleurait pas, comme si elle savait ce qui allait se passer.

Elle sortit d'une poche un pendantif en argent ayant la forme d'une griffe ou d'un long croc et lui dit que cette amulette le protègerait du terrible et sans pitié Golgoth, car la guerre se déroulait en ses terres, et que toute l'armée du roi aussi grande soit-elle ne servirait à rien, qu'elle serait décimée avant de découvrir le lourd secret que cette créature gardait. Elle plongea l'amulette dans l'eau de la source, lui passa au cou et lui murmura: « N'oublie pas, ne m'oublie pas! »

----------------

Le temps passa, les saisons se suivirent et se ressemblèrent, peu à peu la joie disparaissait du comté, jadis réputé pour son accueil et sa bonne humeur. La rivière ammenait encore les voyageurs dans les auberges, mais ceux-ci restaient moins longtemps.

Deux ans passèrent sans nouvelles du front, c'est alors qu'un matin d'été, un chien hurlant, permis à son maître de découvrir un soldat en armure blanche. De longs cheveux noirs depassaient du casque enfoncé du côté gauche, une épée avec un riche pommé gravé et orné d'une magnifique pierre rouge marquait une trace de richesse ou d'un quelconque art pour mener les hommes au combat. Cet homme était allongé dans l'herbe, face contre terre, le paysan s'encquis tout d'abord de la santé de l'homme qui semblait noble et lui dit une chose qui ressemblait à: « Mon bon seigneur, z'êtes t'y sur que ça va, c'est t'y qu'vous m'semblez point bien aise! », Pas de réponse, le paysan décida donc de s'approcher. Il découvrit alors que d'une jambière filait une trainée de sang, la jambe de ce malheureux avait l'air d'avoir bien souffert, le paysan retourna le corps sur le dos et eu la désagréable vision d'un homme ravagé par les combats, outre sa jambe, un de ses bras était dans un piteux état, son visage était rougit par le sang qui coulait qu'une plait à son front, il était méconnaissable même de sa propre mère. Le paysan hurla à l'aide et l'homme fut emmené au village, certaine femme essayait tant bien que mal de le soigner. C'est alors que la vieille femme sortit pour la première fois depuis deux ans de sa forêt, certains pensaient même qu'elle était morte. Elle fit emmener l'homme dans sa chaumière malgrés les objections de certains. Elle pensa ses blessures et nettoya ses plaies avec l'eau de la source. Il mit deux semaines à se rétablir, chose surprenante car il lui en aurait fallu le triple dans une bonne maison avec des soins de spécialistes. Il resta quatre mois en compagnie de la vieille femme avant de repartir, Avant de se quitter, la vieille femme lui donna la même amulette censé le protéger du Golgoth et la plongea dans l'eau avant de lui murmurer les même mots mystérieux: « N'oublie pas, ne m'oublie pas! ».

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

La vie reprenait son cours quand un jour la comtesse mouru...Des funérailles eurent lieux en son honneur tandis qu'aucunes nouvelles du comte n'étaient arrivées, on désespérait quand au retour des hommes dorénavant.

Un vieille homme vil et cupide hérita de la régence du comté et son arriva signa le malheur le départ d'une grande partie de la population. Les terres se vidaient, les petits villages étaient à l'abandon, après un printemps le comté était déserté, seul restait le régent et ses gens, quelque villageois et la vieille femme dans sa chaumière, prêt de la source.

L'hiver suivant, en fin de matinée, un cavalier s'annonça aux portes du château comme étant un ancien habitant des lieux. Un serviteur le reçu fort mal en lui disant d'aller voir ailleurs, que les mendiant pouvait aller se faire voir. Surpris d'un tel accueil dans un endroit qui dans ses souvenirs accueuillait les malheureux et les infortunés, ainsi il alla dansla forêt de son enfance pour voir ce qui avait changé. Il se mit alors à neiger, peu à peu, le sol se recouvra d'un léger tapis blanc.

Il arriva dans la forêt et ses pas le conduisirent à la source. Là, une voix le fit sursauter, cette voix, elle était toujours dans sa mémoire, elle ne le quittait jamais, ni même dans ses rêves.: « Je t'attendais ». La vieille femme était toujours là, comme si c'était la gardienne immuable des lieux.

Une discussion s'installa entre les deux amis, des nouvelles des combats permis à la vieille dame de savoir que le Golgoth, son ennemi, son antagoniste était toujours libre et qu'il veillait et protégeait toujours son secret. Apparemment seul quelque uns avaient réussi à s'en réchapper dont un meneur d'homme avec une armure blanche. Le Golgoth semblait immortel, les flèches et les coups cinglant d'épées semblaient le rendre indifférent tandis qu'il massacriait, piétinait les soldats avec force sauvagerie. Puis la discussion embraya sur ce qui s'était passé dans le comté depuis son départ.

Il faisait nuit quand ils décidèrent d'aller se coucher, et ce soir là, la vieille femme hésitait à lui parler de son lourd secret. Passer sa vie comme gardienne de cette source lui pesait énormement, elle avait moins de problèmes que son antagonisme certes, mais cela faisait longtemps qu'elle érrait sans finn devait elle le mettre dans le secret, lui dire son rôle et ce qu'elle était capable de faire, ses pouvoirs, et lui révéler ce que deviendrait la source sans elle ?

Elle se coucha, décidant de remettre cela à plus tard...

----------------

cela faisait alors quatre ans que le régent était en place et trois que le jeune homme était rentré. Cet hiver là, le froid était plus intense, plus mordant et le régent fut pris d'une grosse fièvre, sa méchanceté n'incitait pas ses gens à convenablement le soigner, tous espéraient sa mort. Et un matin, l'on découvrit son corps sans vie et un couteau sanglant à ses côtés, s'était-il donné la mort parce qu'il souffrait trop ?

Une jeune femme arriva un peu après pour prendre les reines du comté désolé, elle était calme, douce, intelligente et de surcroit d'une grande beauté. Le jeune tomba tomba sous le charme et ne pu s'empêcher de faure la cour à cette noble dame ô combien merveilleuse. Peu à peu cette dame incitait les villageois à revenir s'installer, ils revinrent tout d'abord par petits groupe pour voir comment c'était et ils s'y plurent. Ils rétablirent les chaumières ravagées par le temps. Les champs en jachère depuis longtemps et une météo clémente leur permis une récolte abondante. Les jours heureux semblaient revenir dans le comté, les vieilles dames annonçaient déjà le retour d'un âge d'or et la faveur des Dieux grâce à la beauté de leur comtesse. La vieille femme de la forêt, elle, voyait de moins en moins le jeune homme plus occupé avec sa belle.

----------------

L'année suivante, le jeune homme et la comtesse se marièrent. Tout les villageois, alors revenu en grand nombre, se réjouissaient de la nouvelle, sauf l'ermite de la forêt qui jalouse ne vint même pas assister à la fête malgrés l'invitation de son jeun ami.
Quand le jeune marié alla la retrouver à la source pour lui demander des explications quand à son absence, il vit la chaumière brûler d'un feu vif presque surnaturelle car il ne touchait pas les arbres alentour, la vieille femme était à côté, une torche à la main un paquet sous l'autre bras, elle le regarda et se dirigea vers la source.
D'un air vexé elle lui annonça son départ ainsi que de bien mauvais augures pour les années à venir. En se retournant vers le tout jeune marié, elle lui arracha son amulette qu'elle lacha dans la source et cria d'une voix semblant sortir d'outre-tombe: « Oubliez, oubliez tout! ». Elle cracha sur sa torche et une fumée verdâtre s'en échappa puis elle disparu soudainement. L'époux raconta l'évènement à son retour mais l'incidant ne les marqua pas tant leur amour prenait de la place dans leur esprits et ils ne jugèrent point utile d'en faire part à la populace.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Peu de temps après , certaines bêtes avaient des comportements plutôt étrange; les chiens ne reconnaissaient plus leur maître, les chevaux ne semblaient plus savoir tirer un attelage, et les vaches ne donnaient plus de lait. Phénomènes étranges surtout quand ceux-ci se produisaient proche de la source. Il fut alors conseillé de ne pas emmener les bêtes boire à l'eau de la rivière. On entendait déjà des rumeurs quand à de la sorcellerie mais aucune raison apparente ne venait le confirmer. Peu à peu le phénomène se repandit, certains voyageurs se plaignirent tout d'abord de meaux de tête, puis d'autre s'étant reposé à la source ne se souvenait plus des raisons de leur voyage, certains paysans eux-même ne se souvenaient plus de leur noms, d'autre ne s'exprimait plus que par une syllable: « Maaaaaaa ». L'on mit rapidement cela sur le compte de la source malgrés tout, et l'accès en fut interdit puis on décida même de la boucher. Les déments se reconnaissaient à leur cheveux devenus blonds, plus ils étaient hargneux plus la décollaration était remarquable, certains pertaient lors de leur délire à décorer de signes mystérieux leurs chaumières, des suites de lettres et de chiffres avec diverses symboles ornaient les murs, certains érudits vinrent voir cela et annoncèrent que les déments résolvaient bon nombre d'équations et théorème à ce jour encore inconnu et la science progressa grâce aux délires provoqué par la source.

----------------

Quelque mois plus tard une nouvelle source fut découverte plus loin et on se fit fort de creuser un sillon pour qu'elle coule dans le lit de l'ancienne rivière. Au bout de quelque jours on remarqua les mêmes phénomènes se reproduirent, les gens devenaient fou, l'eau du comté était maudite, le comté était maudit, le mariage avait été maudit par une quelconque personne. Non, le comte se souvint alors. Ils n'étaient pas fou, le comté n'étaient pas maudit, mais le source si! Ils ont oublié qui ils sont, oublié où ils vont, comment parler, pourquoi vivre, tout cela leur est maintenant obscur. Tout le village s'exila alors et on laissa les malheureux à leur sort. S'en était fini du comté.

Quelques voyageurs passant par là oubliaient tout eux aussi, mais les cas restaient quand même isolés.

Depuis ce jour le temps à oeuvré, les batissent se sont écroulées, les arbres ont poussé à leur place et la forêt s'est agrandie et l'emplacement de la source a été perdu, oublié. Mais pas oublié de tous, car pour qu'une légende persiste il faut que quelqu'un perpétue son histoire et des personne sont encore là pour ça. Un jour, un seigneur eu vent de cette histoire, ce seigneur à vu dans son jeune âge son père déchiré par le Golgoth et son désire de vengeance lui est propre, suite à sa fuite, il à appris où trouver les amulettes de pouvoirs, notemment une qui avait été égarée...mais les choses égarées sont faites pour être retrouvées

La rivière coule toujours mais l'effet maléfique s'est ternis avec le temps, boire cette eau à notre époque n'engage qu'à quelques oublies de choses futiles, les enfants tomber dans la rivière étant petit héritent d'une moins bonne mémoire mais sans plus.



Une autre légende, connu seulement des descendants direct du gardien du Golgoth, parle d'une source où coule les souvenirs perdus de chacun, et que boire à cette source permettrait une reminiscence de tout son passé.
Seulement, depuis ces temps où la légendes persistent grâce aux compteurs ne divulgant leurs légendes qu'à un nombreux réduit de personnes qu'ils choisissent, leur devoir est de poser trois questions.

Pourquoi la vieille dame pouvait protéger du Golgoth ?
Quel était le secret du Golgoth, l'antagonisme de la vieille dame ?
Pourquoi seul les gardiens de Golgoth connaissent la source du souvenir ?




je voudrais savoir si vous aimez ? (à priori il y aurait une suite...)

j'ai tt lu!!! et oui malgré moi!!! je n'arrive jms à lire de grand texte! pr moi c'est un exploit
sinon bah on attend la suite lol et j'ai bien aimé

C'est excellent!
J'aime beaucoup, en effet la suite est nécessaire.
Tu as tellement insisté sur le secret de la vieille dame qu'il a donné envie de le connaître. Si tu ne voulais pas le dévoiler tu aurais dû en dire moins.
Comme on dit : tu en as trop dit ou pas assez!

Bref, oui, on attends.
Juste un petit truc, tu ne voudrais pas prendre "word"?
C'est bien pour corriger ses propres fautes d'inattention. Moi, je m'en sers, c'est pratique.
J'oublie parfois des mots quand je veux écrire vite.

erf y'a tellement de fautes ? :/

bon je vais faire une relecture parce que open office est idiot, son correcteur orthographique marche pas -_-

je suis content que ça plaise :$, je vais écrire la suite alors mais ça risque d'être long anneso :s

(mais avant je fais le rp avec karon )

Ouaiiii!!!
Il n'y a pas de fautes flagrantes, je te rassure.
Il n'y en a pas que je ne ferai pas par inadvertance...

arg rp karounet faudrait que je m'y mettre aussi looool

Boui!
Je croyais que comme tu étais parti pour rp dasn ton grimoire, je me suis dit que peut-être tu serais partante pour rp sur notre histoire...

Bien sur...faut juste que j'ai l'inspiration rp du moment et surtout comment venir me ratacher à l'histoire -_-

Citation :

Dans mon pays, en Brocéliande, coule une rivière d'une eau pure et cristalline, le bruit de son écoulement et le léger son des petits cailloux de son lit font penser à des murmures d'enfants. Cette rivière connu dans la contrée prend sa source dans un endroit aujourd'hui perdu. Perdu ? Non, plutôt oublié, interdit...Des légendes circulent sur cette source disant qu'elle serait maudite.

C'est l'eau d'évian? :p

Bon j'ai enfin tout lu.

Mon avis sur le sujet c'est que c'est relativement bien écrit, mais qu'il y a peut etre trop de suite d'actions sans "pause" ce qui rends l'histoire dure a lire car dure a immaginer.
On a un peu du mal a voir où tu veux en venir.
Malgrès tout la légende est plutôt sympas et m'a même donné des idées pour une histoire.

Assez d'accord sur les actions qui n'aboutissent pas, mais ça ne m'a pas trop gêné...
En fait, c'est comme pour la petite vieille et son secret...
Le chevalier blanc ou le jeune...
Il y a beaucoup d'hisoitre inachevé, ou tout du moins qui a un goût d'inachevé...
Je crois que la phrase qui résume bien c'est "ça a un goût de trop peu".
Tu ne peux pas faire apparaître un perso et le faire disparaître comme ça d'un coup...

Mais sinon, moi j'aime beaucoup et j'attends la suite.

Moi, ça me rappelle une histoire dans une Forêt bretonne avec un magicien très connu...
J'aime les histoire celte...
je marche dedans à fond.

Excalydra a écrit:

Bien sur...faut juste que j'ai l'inspiration rp du moment et surtout comment venir me ratacher à l'histoire -_-

Tu es déjà dans l'histoire puisqu'apperement tu es déjà à Rémini.
Mais je crois que tu pourras faire quelque chose...
Pour l'instant ça prend un aspect un peu trop imposant.
Je pensais faire un truc plus discret. lol

C'est à dire, on part en groupe, nous plus nos unités spéciales et on va casser du méchant nous même...
Mais je vais poster un truc pour bien expliquer...
Nos armées en masses comme l'avait annoncer réré ont va s'en sevir.
Mais ça va être de l'arrière plan...
Je pensasi que l'on serait parti en groupe pour pouvoir faire des haltes dans les auberges, faire des gardes quand on passera la nuit dans la nature...
Faire des feux de camps, on chantera des chansons, hum, hum, je m'enflamme, là...

en fait, j'ai parlé de tout ces personnages parce qu'ils me venaient à l'esprit, la vieille dame je viens de finir de scriturer son histoire et en même temps celle de la source...


j'ai pas fait de pause descriptive car j'ai écrit cette histoire en 30mn car je l'avais promise pour le soir même ...

Si c'était de l'impro, c'est excellent!!!

erf, le compliment me touche car effectivement je ne me suis pas relu...et j'ai fait ça à l'arrache...

bvo bvo bvo

Sinon ah je suis à rémini?
hummmmmmmmmmmmmmmmmmmm je pensais apparaitre comme ça d'un coup (dsl j'aurais été hs mdr) j'ai bien fait de pas poster alors

Ben tu as été faicilité par Réré...
Si tu vas dans la salle tu comprendras...

Sinon, Réré, c'est excellent.
Pour de l'impro tu as de bonne idée et une bonne écriture en première intention...
C'est pour ça que je trouvais certaines phrases trop vive.
Dans le sens où on sentait que ça manquait de recule sur la phrase...
Mais, c'est bon...

je prend note de vos conseils et je vais essayer de revoir un peu pour ce que j'ai déjà écrit

Chapitre I


Le jour se lève à son habitude sur les paisibles terres bordées par un grand bois du royaume de Mirria. En son centre est érigé un château qui en impose sur le voisinage. Cette batisse n'est pas faite pour repousser des combats de grandes envergures mais malgrés ses apparences plus raffinées, la majorité des petites hordes barbares s'y cassent les dents. Doucement, la lueur du soleil parvient aux fenêtres du château, son propriétaire, un noble juste, veillait méticuleusement à la bonne marche de son royaume. Loin dans la campagne, le coq chante et annonce ainsi l'heure du réveil.
Peu à peu la ville renait. Les marchands crient la bonne valeur de leur produits dans les rues, les passant vont et viennent à leur allures. Les paysans, eux, veillent tranquillement sur leurs cultures ou leurs paturages. D'un côté le calme, de l'autre l'agitation, deux mondes semblant opposés et pourtant ne faisant qu'un en ces terres.

Le châtelain excerçait la justice en ces lieux, favorisant toujours le plus lésé, tantôt bourgeois, tantôt paysan. Personne ne s'était jamais plaind de ce seigneur. Ce dernier avait une femme, la plus belle qu'il soit permis de voir; un cadeau divin. Une voix enchateresse sortait de sa bouche et de sa petite taille étincelait autant de beauté que dans toutes les étoiles réunis. Elle faisait chaque jour qu'elle vivait de son mari un homme comblé et ô combien heureux.

Tout allait pour le mieux surtout que la belle attendait un héritier de son roi, la joie pénétrait le château et son joli ventre rond émerveillait son homme. Les jours passaient et les préparatifs pour l'arrivé de l'enfant s'achevaient, cela faisait maintenant bientôt neuf mois...Un beau soir des douleurs prirent la jeune femme. L'arrivée du bébé était annoncée.
On installa la femme dans un lit et la mari fut prié d'attendre hors de la chambre le temps que dame nature oeuvre. On entendait des cris, des pleurs...Le noble sur était rongé d'une inquiètude monstrueuse, l'accouchement semblait difficile, il savait que si la mort guettait sa femme il aurait perdu une grande partie de son âme. Me silence, plus rien ne se faisait entendre de la chambre à présent. Il se leva, se mordilla la lèvre, rongea un ongle puis se mit à piétiner dans le couleir. Que ce passait-il? Pourquoi plus de bruit?
Sa femme, son enfant, il voulait savoir, savoir ce que cette porte cachait comme terrible chose qui lui était interdit de voir. Comme un lourd secret caché par quelque planches de bois robustes. Lui, le roi, était impuissant face à la tourmente qui le malmenait.

La porte s'ouvrit devant une servante ayant l'air attrsitée. Elle annonça d'une voix calme se voulant réconfortante:
« - Messire, votre fille est née-morte, je suis désolé et je partage votre chagrin. »
Morte...sa fille était...morte. Morte sans même avoir vécue...
Il avait eu une fille, et elle ne grandirait jamais...
Sa femme, il s'encquit aussitôt de la santé de sa moitié. La gouvernante vint prendre la place de la servant et de la même intonation déclara:
« - Sir, l'accouchement à été très difficile, elle a perdu beaucoup de sang et elle s'est évanouie avant même d'apprendre pour votre enfant. Je garde un faible espoir quand à sa sauvegarde. »
Un nouveau choc terrible frappa l'homme déjà sous le coup de l »inquiétude puis de la mort de sa fille, maintenant sa bien aimée allait surement le quitter...

Il resta deux jours et deux nuits à son chevet quand, une nuit elle lui prononça un dernier mot doux dans son plus beau sourire. Elle s'en était allé. La douleur fut incommensurable. Une énorme tristesse envahi le seigneur qui se laissa aller à ses pleurs. Le lendemain on prépara les funérailles pour enterrer la belle dans la forêt, là où elle se plaisait à aller. Un cortège marchait derrière le corps qui était posé sur un brancard recouvert d'un tissu de soie. Quelques fleurs étaient disposé autour de la défunte. Le Maître des lieux avait trop de chagrin pour faire partie de la procéssion. On déposa le corps à terre avant de l'enfouir dans un caveau royale, et un évèque benissa le corps. Les pleurs allaient bon train devant cette beauté angélique retournée à Dieu.

Non loin de là, un homme tout de noir vêtu, la tête basse, restait seul. Une larme perlait sur ses joues et dans ses mains se tenait une fleur, la fleur préférée de la défunte: une Mauve. La larme roula sur son visage avant de tomber sur un pétale de la fleur avant de repartir dans l'air en une myriade de petites étoiles scintillantes à la lumière du soleil. L'homme redressa la tête et l'on devina alors le suzerain des lieux.

Le cortège s'éloigna et on laissa encore le corps en vue de tous, puis, seul, l'homme veuf vint déposer sa fleur sur la poitrine de celle qu'il aimait tant. Ses longs cheveux brun flottaient au vent et semblaient recouvrir d'une douceur le linceul de la reine. Il regarda une dernière fois son visage autrefois plein de joie de vie et auojourd'hui pâle d'une mort injuste. Il pensait à tout ces moments passés et vécus ensemble, tout ces moments qui emerveillait son âme. Elle n'était plus, et déjà il se sentait perdu sans elle. Qu'allait-il bien pouvoir devenir sans elle?

Le noble sir perdait le goût de la vie. Un soir il décida de partir en quête de la gardienne de l'oublie, il ne savait même pas où il allait bien pouvoir la trouver, mais désespéré comme il l'était rien d'autre ne lui donnait une once d'espoir. Cette gardienne semblait douée de mystérieux talents capable de guérir les plus âpres blessures de l'âme en les effaçant.
Il rédigea une lettre, une copie de cette lettre:
« Je m'en vais, je laisse la direction du royaume à mon cousin, le sir de Létrve. Je pars pour chercher quelque chose qui peut-être n'existe pas, je ne reviendrais peut-être jamais. Aussi, détruisez cette lettre après que mon cousin en ai pris la connaissance. Je conserve un double pour ne pas oublier ce que je fais et ce pourquoi je le fais. »

Et dans la nuit il partit en anonyme sur un cheval volé dans ses écuries. Il était vêtu simplement et passait inaperçu. Une simple épée et une bourse n'attirant pas l'oeil mais lui permettant de se sustenter quelque temps étaient accrochés à sa ceinture. Il parcourut monts et plaines, traversant forêts et rivières à la recherche d'un quelconque signe de cette gardienne, mais rien ne l'aidait. Sa bourse se vidait un peu plus chaque jour et la fatigue prenait petit à petit le dessus sur lui et sa monture. Un soir, fourbu de son voyage infructueux du jour, il décida de ménager sa bourse et alla demander le souper et le couchage dans la grange à une famille de paysans. Ceux-ci d'abord méfiant d'un inconnu acceptèrent. L'homme conta son histoire malheureuse sa déclarer sa noblesse et expliqua sa quête et son voyage jusqu'à ce soir là. Le paysan et sa femme se regardèrent, puis le fermier déclara n'avoir jamais entendu parler de cette gardienne.
C'est une de leur fille alors âgée de quatre ou cinq ans qui annonça avoir entendu dire que la vieille Sara était capable de ces choses.
La paysanne se leva promptement et alla coucher sa fille. Son mari alors confus finit par dire:
« -On dit que parler de cette femme apporte le mauvais oeil sur sa maison. Mais je vais vous raconter ce qui se dit à propos de cette femme que vous semblez chercher. Il marqua une pause et repris et se pinça les lèvres. On raconte qu'elle guérit les maux de l'esprit en dévorant l'âme des gens venu la voir, avant de les laisser érrer sans volonté, atteint d'une sorte de démence. Les gens ayant été ainsi vidé de leur âmes sont tous revenu avec une chevelure blonde, aussi si je vous vois revenir avec des cheveux de cette teinte je n'hésiterais pas à vous tuer. »

Après cela le voyageur parti se coucher, plein d'espoir d'avoir trouvé la bonne personne. Le lendemain, avant de partir le paysan lui indiqua le chemin et lui recommanda de ne pas agir sans réfléchir.

je lis demain quand j'aurais la forme pr lire un texte long promis
ou sinon réré
tu peux pas me le couper en qqes parties?
je t'ai déjà dit les textes longs...si tu me les coupe pas j'y arrive pas
pr le bac le texte faisait 3 pages...je l'ai divisé en 6 parties...et je laissais partie par partie...
j'arrive vraiment pas à lire des trucs longs c'est pas normal!!!!

je t'ai envoyé ça ingame...

quand tu auras l'envie ou le moral pour lire...

a chaque fois, je le vois trop tard...
Je le lirai demain...

Note pour moi même : demaiiiiiiiiiiiiiinnn!!!

tkt le moral j'ai retrouvé ! hum sinon je lis cette aprem car le flood boom x_x

pas de soucis ^^'

j'essaierais un chapitre par semaine par la suite si j'ai le temps de scriturer dans ma chambre

je réponds qu'à ce topic car j'ai déjà floodé ce matin
c'est trop triste comme histoire T_________________________T mais c'est tellement bien écrit...vivement la suite