petite histoire (j'ai pas encore de titre)

Chapitre II

Le lendemain le voyageur quitta ses hôtes, avec leur bénédiction, en direction d'un petit bois. Le chemin longeait une rivière. Cette rivière s'écoulait lentement dans un doux clapotis, le soleil se reflettait dans les petites vaguelettes de la rivière. Il suivit tranquillement le petit ru et arriva à la source dans la forêt. Prêt de cette source se dressait maladroitement une cahute qui semblait être très fragile, et incapable de résister à l'hiver ou un une légère brise...Il stoppa son destrier et fit une halte prêt de ce havre tranquille. Peu de temps après avoir sauté de sa monture, une vieille dame sortit alors de la « maison » et sa planta devant le cavalier:
« - Messire, une bien triste nouvelle vous ammène, et soyez-en sur, votre femme repose en paix. »
Ces derniers mots furent comme des claques sur le visage de l'homme, comment savait-elle ? Elle continua sans lui laisser le temps de dire un mot:
« - Vous êtes ici pour soigner le chagrin qui vous ronge, je puis vous y aider, je puis aussi vous offrir la chance de revoir une dernière fois votre défunte épouse si vous le souhaitez. »

Abassourdi l'homme ne répondit rien, alors suite à un petit rire malsain elle se remit à parler:
« - Avant votre décision, je vais vous conter l'histoire des sources, comme je l'ai fait avec ceux qui sont venu me voir avant vous. Puis vous ferez ce que vous avez à faire. »
Elle montra un endroit un peu plus confortable, pris place et commença son récit:
« - Au commencement des âges, les sept Dieux décidèrent de créer notre terre et d'y mettre la vie. Tous furent d'accord quand aux divers paysages, tantôt l'un décidait d'une forêt, un autre d'une chaîne de montagne, le suivant de marécages...et ainsi de suite.
Vint alors la question du peuplement. L'un voyait l'avenir dans une race pure et immortelle, un autre dans des créatures fourbes et cruelles, bref les débats allaient bon train et souvent avec violence parmis ces Dieux caractériels. Ainsi furent créé les Hommes, à la fois justes et bons, mais aussi vils, fourbes et fragiles.
Puis, pour garder une sorte de signature, sept sources se mirent à jaillir aux sept coins du monde. Chacun des sept Dieux dominant celle qu'il avait inspiré et en la dotant d'une infime partie de leur pouvoirs. Les hommes furent ainsi divisé en sept clans autour des sept fontaines, voué au culte du Dieu de leur région.
Tout se passait bien, mais au fil des âges, les clans commençaient à envier la source de son voisin. Celà donna lieu à un âge noir où les guerres ravageaient tout, certains érudits parlent alors de la « Guerre des 7 fontaines » mais peu de gens s'en souviennent de nos jours.
Devant ce carnage qui dura quelques années, les Dieux décidèrent d'assigner un gardien à chaque source pour limiter l'influence des Hommes sur elles. Ainsi sept de leur serviteur vinrent parmis les Hommes. Ces sept étaient immortels dans l'âge et invulnérables mais ils n'avaient alors nul droit d'intéragir dans la vie des Hommes, seul la protection des sources leur était incombé.
Ainsi à l'ombre de la vie des Hommes s'écoulait l'eau des sept sources, la vie des gardiens était longue et morne, chaque jour ressemblait au précédent...Jusqu'au jour où un sage arriva à la source de mort et fut tué par son gardien. L'acte était sans précédent car peu de personnes étaient venu aux sources depuis l'arrivée des gardiens. Et ce jour-ci le gardien avait fait ce pourquoi il était là pourtant il avait interagit dans la vie d'un homme. Les Dieux décidèrent alors que chaque gardien pourait alors interférer avec les mortels si il renonçaient à leur invulnérabilité. D'abord Lyclia, gardienne de la source de via accepta, puis Sarva, gardien de la source de mort fit de même. Le Golgoth, gardien de la source du souvenir les rejoignit, puis ce fut le tour d'Azoria, gardienne des eaux de l'oubli. Othana gardien de la source de force ainsi que Rimeth gardien de la source de faiblesse décidèrent à leur tour de faire de même. En dernier, Rakon, le gardien de la source de l'esprit, gardien le plus puissant et respecté car ne connaissant pas d'antagonisme renonça lui aussi à son invulnérabilité.
Bien vite ils se firent connaître des habitants voisins, Lyclia soignait les blessures, Sarva lui, donnait la mort. Othama apportait vigueur aux soldats et aux travailleurs alors que Rimeth affaiblissait les rangs ennemis. Le golgoth lui veillait jalousement sur sa source qu'il s'evertuait de cacher. Azoria guerissait les maux de l'âme en les faisant oublier leur soucis...entre autre...Rakon lui restait en arrière, ce gardien ne se complaisait guère parmis les hommes mais il leur apportait son aide si leur cause était juste et noble. Ce qui est sur c'est que tous prirent des noms différents pour se mêler à la populace. »
Après un bref instant de silence elle annonça:
« - Messire je suis un de ces gardiens, et je veille sur cette source. »
Et du même rire malsain elle continua:
« - Votre sagesse sera t-elle assez grande pour vous aider dans votre choix ? Boirez vous à la source messire ? Sachez que je puis aussi vous permettre de revoir votre défunte compagne. »

Il prit son temps pour réfléchir. Il méditait au son du clapotis de l'eau et au chant des oiseaux qui se complaisaient à se camoufler parmis les feuilles vertes des arbres de la forêt. Non loin de lui gambadaient joyeusement deux petits lapins, l'air innocents, profitant de leur insouciance...Il surprit son esprit en train de s'égarer. Il pensait encore à son amour, celle qui representait sa vie, celle qui avait élu domicile dans son coeur et qui n'en sortirait jamais...Il s'arreta à ces pensées tellement merveilleuses pour se pencher plus sérieusement sur l'histoire et la proposition de la vieille Sarah. Plus il réflechissait, plus les questions affluaient dans son esprit. Il ouvrit enfin la bouche:
« - puis-je vous poser des questions pour éclairer mon choix ?
- Mais faites donc. Un certain amusement se laissait percevoir de sa voix guillerette.
- Y repondrez-vous ?
- Il se peut que je le fasse. Elle avait reprit son serieux »

L'homme lui demanda alors avec moultes procédés détournés ce qui se passerait si il buvait à la source, quel était le maléfice qui avait été jeté aux malheureux semblant errer sans âme. Il prit soin aussi de demander si sa belle reviendrait à jamais ou si une pâle image d'elle viendrait le hanter.
La vieille dame écoutait patiemment en marquant chaque questions subtilement posée par un léger sourire. Un sielence s'installa entre les deux gens avant que la gardienne ne daigne lui répondre. Ses premiers mots ressemblaient plus à un couinement qu'à des paroles intelligible. Elle prit grand soin de répondre évasiment à la question sur le devenir des gens ayant bu devenu fou, mais elle précisa clairement que boire permettait d'oublier...Quand à revoir sa belle à jamais, elle ne pouvait lui offrir ce privilège car seules les personnes ayant survécu aux sept sources auront été approuvé entièrement par tout les Dieux et pourront se voir exaucé leur voeux le plus cher. Celà-dit boire aux sept sources avec l'accord de son gardien n'est pas chose aisé et seul ceux ayant suffisemment de courage et une quête assez noble pourraient survivre aux sources, de plus seul la sagesse et la grandeur d'âme pourrait permettre de gagner la confiance des gardiens, car ceux-ci ont désormais droit de mort sur les Hommes. Cependant...

Le noble était tellement enthousiaste à l'idée de revivre avec cette personne qui prenait tant de place dans son coeur, celle qui chaque matin était la première image dans son esprit, il pensait à elle à chaque moment. Cette petite dame d'une beauté incomparable...Il était décidé à arpenter le monde entier si il le fallait, affronter tout les dangers et même risquer sa vie si pouvoir revivre avec elle en était le résultat. Il l'aimait éperduement.
Faire revivre un mort...Qui serait assez fou pour croire cela...Il était tellement malheureux sans elle qu'il se racrochait au moindre espoir, son coeur désormais froid ne battait presque plus et seul l'espoir de la revoir lui donnait encore assez de force pour vivre. C'était décidé, il allait boire à cette source. Après tout ce n'était que de l'eau, de la bête eau...Mais pourquoi cette histoire, pourquoi une telle promesse que de revoir celle qui comptait tant pour lui, comment cette vieille dame avai-elle pu savoir...

Il se leva, bravant la femme qui souriait en lui présentant la source. Il s'agenouilla là où l'eau sortait juste de terre, il prit de l'eau dans le creux de ses mains et bu une gorgée. Il attendit un peu, puis sa tête commença à lui tourner, sa vision devenait flou, il essaya de marcher...Rien n'y fit, il tomba au sol et ce fut le trou noir...

houla trop long on verra un autre jour.

voué, je sais, c'est le fruit de toute la semaine...

réré tu pourrais me l'envoyer en petites parties stp? :?

vi je peux

merci bcp je la lirai cette aprem

Chapitre III



Après un moment, l'homme ré-ouvrit les yeux. Il était dans un lit, étonné de se retrouver là il
s'assit et scruta les environs après avoir prit soin de mieux se réveiller. La pièce était sombre, il semblait n'y avoir qu'une unique pièce pour tou. Il était sur un matelas de paille dans un coin et de sorte que de l'endroit où il se trouvait il avait une vue d'ensemble. La pièce était petite, le lit dans un coin était bloqué entre un mur et un muret de terre. De l'autre côté du muret, une marmite était à chauffer et la fumée s'échappait par un trou dans le toit. Sur le mur d'en face, à gauche, une unique porte laissait entrevoir le jour. A côté de lui, une étagère sur laquelle d'innombrable flacons en tout genre servait de voisinage à une bibliothèque où de nombreux livres prenaient entre autre la poussière. Après avoir contemplé son environement il prit conscience de sa fatigue.
Il se recoucha puis se ré-endormi.

Il fut réveiller plus tard par la vieille dame qui rentrait dans la masure. D'un petit sourire en
coin, elle déposa un fagot de petit bois près du chaudron et s'enquit de la santé de l'homme:
« - Alors monseigneur, comment vous sentez vous ?
- Bien ! Répondit l'homme peu réveillé et encore grogi. Que fais-je ici ? »
Un rire flottait dans l'air...La gardienne lui expliqua brièvement qu'il avait fait un malaise devant chez elle et lui demanda si il s'en souvenait, si il se souvenait comment il était arrivé dans un coin aussi perdu.
Rien, le néant, impossible de se souvenir ne serait-ce que du plus marquant des évènements, rien ne subsistait dans sa mémoire, pas même son prénom. Il prit un air gêné au plus grand plaisir de la vieille dame. Son regard était devenu vide, était-il perdu ? Puis il vit une image enfoui dans sa tête, une dame, son visage plus particulièrement, un visage doux aux traits fins, souriant, d'une rare beauté...Cette femme, il l'avait connu et...ça lui revenait...cette dame au visage si pur, il l'avait aimé et au fond de son coeur il l'aimait toujours, il l'aimerait toujours. Pourquoi était-il là, dans ce lit ? Ca il l'ignorait, la vieille dame semblait trop occupée avec ses fioles pour lui répondre. Il ne se souvenait de rien, pourquoi, quel en était la cause ? Et ce visage, auquel il avait maintenant attaché un corps, cette femme aux courbes si magnifiques, pourquoi était-ce l'unique chose dont il se souvenait ? Il n'y arrivait pas, trop de questions, trop de fifficultés à se souvenir, tout se troublait, qui était-il ? Qui était-elle ? Où était-il, et elle, que ce passait-il ?..

Pris d'une fatigue morale il se ralongea et s'endormi rapidement avec une larme au coin de l'oeil. Son rpeve était tranquille, agréable, il était en compagnie de la jolie dame de son souvenir. Tout d'un coup, tout bascula, les cris, l'angoisse, les pleures. Ces sentiments qui laissèrent place à la douleur, la tristesse, l'envie de mourir et la sensation de n'être plus rien...Il la voit dans son rêve, cela paraît tellement réel, elle est là, devant lui, il a déjà vécu cela c'est certain, elle est là...Il l'aime, il aurait tout fait pour elle...Tout ?..Elle est là...
Il se réveilla en sursaut, de grosses gouttes de sueurs dégoulinaient de son visage. La dernière image de son rêve le hantait, elle était là...Là allongée, pâle dans un linceul de mort, une fleur sur la poitrine, une fleur bénie par une larme de profonde douleur, un larme d'un homme qui était mort en même temps qu'elle.Elle était là...morte...Celle qui hantait ses souvenirs était la femme qu'il aimait tant, était-ce la cause de se perte de mémoire ? Que c'était-il passé ? Qu'avait-il fait ? Qui était-il ? Autant de questions sans réponses. Il se laissa aller à quelque pleurs de revoir se dame morte. Un souvenir revint, une lettre, il avait conservé une lettre. Il s'empressa de fouiller ses poches, un espoir renaissant...Il la trouva et la lut. De nombreuses informations étaient là.
Ainsi il avait été roi d'une terre prospère et heureuse, marié à la plus merveilleuse des dames qu'il avait perdu, pris d'une immense peine il avait abandonné son château à son cousin. Il était aussi écrit qu'il était parti en quête d'une source qui pourrait l'aider à oublier sa peine qui le rongeait chaque jour un peu plus. De là le déclic, ses souvenirs revenaient rapidement, ils affluaient dans son esprit. Il s'écria: « Je me souviens ». La vieille sursauta d'avoir été sauvagement dérangée dans son silence.

Ainsi le sir avait survécu à la source, la gardienne le regarda avant de lui annoncer qulle direction prendre pour son voyage, il était toujours déterminé à défier les 6 autres sources.
Il reparti aussitôt et prit la direction qui lui avait été indiquée, elle lui avait dit « si vous survivez, chaque gardien vous indiquera l'endroit où se trouve une autre source. »
En chemin, il s'arrêta dans une taverne de passage et commande une bière. Il s'installa à une table dans un coin, un peu à l'écart de l'agitation de la maison qui était crasseuse et sombre. Il resta un moment seul à observer les va et vient de la clientèle avec une certaine lassitude jusqu'au moment où un petit homme au visage creusé mais pourtant éclairé d'un très large sourire entra. Dès son arrivée il plaisantait à tout va, il commanda une bière et avec moulte pirouettes arriva près du sir qui buvait seul à sa tablé:
« - Et bien mon gaillard, une bière, la mine morrose...quelque chose de bien gai occupe vos pensées à ce qu'on devine, je vous offre ma compagnie, je me présente, ici les gens m'appelent Valti. Et vous monsieur-je-suis-pas-joyeux ?
- Je...Je... » et à contrecoeur il lacha « Je ne sais plus! »

C'était la seule chose dont il ne se souvenait plus, son prénom...Le petit homme s'amusait grandement du sir.
« - Et que faites vous ici alors ? Je voyage beaucoup, peut-être puis-je vous aider. »
Le « Gai-sir » expliqua brièvement sa destination et d'un coup le sourire de son compagnon de table s'éteignit, rapidement le brouhaha de la taverne cessa, tous regardaient l'homme, les regards étaient froids, oppresseurs, mauvais. Jusqu'au moment où le dénommé Valti éclata de rire et tout bas demanda à l'homme de le rejoindre dehors.
Quelque temps après, les deux hommes se retrouvèrent dehors, une discussion s'installa, le petit homme la commença en emmenant le voyageur dans un endroit plus tranquille.
« - N'allez pas où vous le souhaitez, les chemins sont peu sûr, et là où vous aller, personne n'en est revenu, là où vous aller il y a une source maléfique et un terrible gardien, vous vous destinez à une mort horrible dans un marais puant, ce serait de la folie que d'y aller...
- Et bien je dois être fou...je suis déterminé et la mort ne m'effray pas, la vieille Sarah m'a dit...
- Sarah ? » Valti lui coupa la parole. « Vous êtes toujours sain d'esprit après avoir rencontré Sarah ? Je comprend mieux votre determination, on raconte bien des choses sur cette femme et sur la fontaine qu'elle protège, mais peu de gens écoute les maugréations des « hommes-blonds ». » Le petit homme réflechissait serieusement et se fendit d'un large sourire. « Votre quête est une pure folie, la mort vous guette à chaque tournant, vous n'avez aucune chance d'en revenir vivant, vous et ceux qui vous accompagnent subiront un châtiment pervère. Je viens avec vous, la folie d'un homme ne doit jamais être solitaire. Je met mes services à vos côtés.
- Et bien je dois dire que toute aide est vraiment la bienvenue, partons-nous de suite ?
- Oui nous partons, mais nous allons faire une halte dans un château qui accueil les voyageurs, là nous préparerons notre voyage comme il faut. »

Ainsi les deux voyageurs prirent les chemins ensemblent et arrivèrent à la tombée de la nuit au château, là un garde les laissa entrer et ils allèrent rpidement se coucher dans une chambre prévue pour les passants. Valti semblait être un habitué.
« - demain on se lève tôt, je vous raconterai l'histoire du Prince vivant ici, on ne le verra peut-être pas, mais il est un devoir que de savoir chez qui on loge, c'est un principe que je m'evertue de perpetuer, cela nous évite d'aller plusieurs fois chez le même mauvais sir. »

Le petit bonhomme n'avait en rien perdu sa bonne humeur malgré le fait qu'il disait courir à la mort, et ce soir il semblait encore plus excité. Ils se couchèrent chacun dans un coin de la chambre et se reposèrent en vu du long périple qui les attendaient.

je continu de mettre même si je suis pas sur que c'est lu...

anneso je te le transmet par missive en petits morceaux

lool je le fais cette aprem
faut d'abord que je flood et que je révise un peu

T'as raison, le flood est prioritaire.

clair
et puis les cours maintenant je m'en tappe
je veux des vacs tt le temps *_*